Situé à environ 7 kilomètres de Sarlat La Canéda, capitale du Périgord Noir, Carsac-Aillac est l’illustration de la dynamique économique et démographique voulue par une municipalité résolument tournée vers l’avenir.
A l’origine, ces deux communes Carsac et Aillac avaient chacune leurs spécificités. Ces deux villages ont fusionné en 1961 pour devenir la commune de Carsac-Aillac.
Cette fusion a permis, par une économie d’échelle, le développement rapide de cette nouvelle entité, qui désormais peut offrir à ses habitants des structures d’accueil complètes : maison médicale, école, salle des fêtes, stade, skate park, terrain de tennis et de nombreux commerces à proximité.
En complément de l’activité commerciale et artisanale, le développement permanent de la ZA Périgord Noir Vialard a favorisé la venue de nouvelles entreprises au fort potentiel économique.
Le bourg-vieux et l’église de Carsac sont situés à l’embouchure du ruisseau l’Enéa avec la Dordogne. L’origine du nom viendrait de « Quercus », chêne sans doute remarquable qui se trouvait à cet emplacement et devait servir de lieu de rituels à l’époque gauloise, l’église y fut édifiée à partir du XIIème siècle de style roman, décorée d’un chemin de croix sculpté par Léon Zack,artiste d’origine russe.
Le château de Carsac, situé en face de l’église, dont les ruines ne laissent malheureusement que découvrir fenêtres, encadrements de portes et fortifications.
Depuis la fin du Moyen Age, plusieurs moulins existent encore sur la commune, le Moulin de Papier (pêche à la truite), du Bouyssou, le Moulin Neuf et le Moulin de l’Enéa (transformé en salon de thé).
Des petites sources alimentent des lavoirs, qui étaient encore en usage jusqu’au milieu du XXème siècle.
Le grand lavoir communal couvert d’une charpente symétrique soutenue par des piliers en pierre.
Dans le bourg d’Aillac, l’église Notre-Dame de l’Assomption édifiée aux XIVème et XVème siècles, avec son clocher-mur percé de quatre baies campanaires.
Son passé de port fluvial, permettaient aussi la réparation de gabares endommagées.
La Dordogne a malheureusement quitté les rives d’Aillac, laissant une « couasne », trésor écologique, dont ses eaux poissonneuses permettent un lieu de reproduction de nombreuses espèces.
La « voie verte » longe un haut-lieu de la recherche préhistorique au lieu-dit « Pech de l’Aze », abri sous roche qui a fait l’objet de fouilles sous la direction du professeur François Bordes, Géologue-Préhistorien, alias « Francis Carsac » écrivain de Sciences-Fiction.